Les membres du Congrès ont exigé que le président Barack Obama les consulter sur la Syrie. Ils viennent tout juste leur souhait. La responsabilité de la politique en Syrie va maintenant être partagé. Voici quatre questions qui pourraient être pesés sagement avant que les missiles volent:
1. Que faut-il accomplir?
Une guerre entre le régime, le Hezbollah et l'Iran de Bachar al-Assad d'un côté et Al-Qaïda de style islamistes radicaux de l'autre est un combat dans lequel les Etats-Unis n'ont pas de chien.
Blesser le régime d'Assad signifie inévitablement aider les rebelles. Certes, une partie des rebelles sont mieux que d'autres rebelles. Il est vrai aussi que les rebelles méchants sont les plus susceptibles de faction à dominer si le régime d'Assad tombe.
En Juin, les rebelles méchants et les rebelles sont venus plus agréable à la violence pour le contrôle des points de contrôle stratégiques dans le nord de la Syrie. La fin du conflit avec les rebelles désagréables assassiner l'un des principaux dirigeants des rebelles agréable et consolider le contrôle sur le territoire disputé.
Donc, une grande partie du débat sur la Syrie est un débat sur le «comment»? Nous sommes en réel danger de sauter sur les questions les plus importantes: "Pourquoi?" et "Au profit de qui?"
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2. Qu'est-ce qui vient après?
Un barrage de deux jours de missiles de croisière ne sera pas pencher la balance de la guerre civile syrienne contre le régime Assad. Il a fallu sept mois de bombardements, plus une aide militaire substantielle aux rebelles libyens pour renverser le régime de Mouammar Kadhafi sans amis. Al-Assad a un meilleur contrôle sur le pouvoir et ses alliés internationaux de plus.
Les chances sont que après la fin du boom-boom, la guerre civile reprend. Les forces gouvernementales syriennes vont probablement continuer à commettre des atrocités (bien que peut-être que la prochaine fois que par des moyens autres que les gaz toxiques). Les rebelles vont très probablement continuer à perdre.
Le monde aura regardé le régime d'Assad secouer un coup de poing américain - et toutes les questions auxquelles nous sommes confrontés aujourd'hui environ US «crédibilité» fera revivre sous une forme plus intense.
Les États-Unis envisagent des frappes de missiles de croisière aujourd'hui en grande partie en raison de l'échec des interventions antérieures de la part des rebelles: première aide alimentaire et médicale, puis les appareils de communication et autres soutiens du champ de bataille, puis les armes légères. Si cette intervention ne parvient pas à forcer al-Assad à cesser de fumer, la prochaine intervention devra être plus grand encore.
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3. Quel sera le coût?
Une campagne de Syrie est annoncé comme relativement pas cher en argent et en vies américaines. On nous promet "pas de bottes sur le terrain». Mais il ya un autre coût risque d'être négligé: le coût d'opportunité.
Le président, le secrétaire d'Etat, le secrétaire à la Défense et d'autres hauts responsables n'ai pas beaucoup de temps et d'énergie. S'ils s'engagent à résoudre la guerre civile syrienne, inévitablement, ils donnent second malmenés ou troisième confidence, ou pire à de nombreux autres problèmes de sans doute une plus grande importance pour la région et le monde.
L'Egypte, par exemple, semble se diriger vers la même guerre civile en Syrie. Qui est l'élaboration du plan pour aider à prévenir ce résultat? Combien de soutien et d'attention de haut niveau obtiennent-ils?
4. Y at-il un autre moyen?
Responsables de l'administration Obama soutiennent la grève contre la Syrie va dissuader l'Iran. Mais tirer des missiles de croisière dans les installations militaires en Syrie semble une méthode très rond-point de l'arrêt d'un programme nucléaire en Iran. Certains peuvent espérer que les États-Unis dessin Iran dans une longue, la guerre de proxy cher. Mais les Etats-Unis ont déjà deux guerres par procuration anti-iranienne dans l'inventaire, en Afghanistan et en Irak, et ni s'est bien passé.
Que s'est bien passé, en revanche, est la campagne américaine de pressions économiques sur l'Iran. Qui aurait osé prédire en 2002 que l'Iran lui manquerait encore une arme nucléaire 11 ans plus tard et sans une attaque militaire US? Pourtant, il est arrivé.
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Il ya une leçon contenue dans ce succès, et c'est: "les priorités, les gens."
Si vous voulez traiter avec l'Iran, accord avec l'Iran. Et si vous voulez ne pas être entraînés à fond dans une guerre civile syrienne entre factions aucun d'entre eux amical aux États-Unis, alors la meilleure façon d'éviter d'être tiré est: ne prenez pas la première étape. Et si vous avez déjà inadvisedly franchi la première étape, au moins se méfier de la deuxième, troisième et quatrième.
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