vendredi 19 août 2011

Revue de film : Conan le barbare (2011)

Visuellement, ce nouveau Conan se sent authentique, avec des gallons de sang éclaboussant contre l'acier gâché pendant que les hommes musculaires font la guerre avec des bêtes et de même. Pourtant tandis que l'action et le carnage pourraient assouvir le plus sanguinaire des visionneuses, le film se sent plutôt soulless pendant que les batailles sans fin continuent sans la pause pour le dialogue, le développement de caractère, ou la parcelle de terrain. Le conte de méli-mélo de la vengeance et d'un tyran mauvais essayant de conquérir le monde est la définition même de générique et les acteurs n'essayent pas de se déplacer au delà de la portée de leurs stéréotypes. Des états de Conan dès l'abord, « je vis, aime, et massacre. Et je suis contenu ». Bien, nous avons besoin d'une histoire pour être satisfaite.

Soutenu de la bataille et augmenté pour être un guerrier Cimmerian courageux, vengeance de recherches de Conan (Jason Momoa) contre le seigneur de la guerre impitoyable Khalar Zym (Stephen Lang), l'homme qui ont rasé son village et assassiné son père. Pendant que Zym essaye de ressusciter son épouse morte à l'aide de sa fille Marique (Rose McGowan) de sorcière, il découvre le dernier morceau aux mensonges de puzzle dans le sang pur de Tamara (Rachel Nichols), un jeune moine. Quand Conan sauve la fille des partisans de Zym, le barbare voit sa chance de faire parler le roi impitoyable et d'accomplir sa vendetta perpétuelle.

Tout au sujet de Conan le barbare est persistant. Tandis que le niveau de l'action est louable, il a soutenu avec a peine une coupure, ne quittant aucune pièce de n'attraper votre souffle et aucun moment pour différencier un bandit ou ordre d'action du prochain. Il est comme si le film est une longue bataille, commençant par une naissance tuante sang-imbibée de champ et la terminaison avec les poussées finales d'un guerrier se battant en duel sa Némésis, interrompues rarement par de brèves conversations. Il y a tellement boucherie, mais au lieu d'être créateur, c'est généralement cruel, et bien que l'histoire soit imbibée dans les légendes, secrets, sorcellerie, sorcellerie, rituels, necromancers, voix caillouteuses, victoire pleure, les moines sataniques et une Reine démoniaque Amidala (accomplissez les hairpieces et le vêtement constamment changeants), aucun de lui est unique. Un vibe de B-film préside au-dessus de l'épreuve entière, avec le récit réservé, les transitions douces et les poses affiche-prêtes saisissantes de caractères (telles que des épées étant augmentées aux cieux). Il n'y a pas même aucun monstre original pour que le barbare conquière. Les réalisateurs de film ont oublié que l'aventure peut encore exciter même sans situations fâcheuses et carnage directs. Et les dents et les implants de sein impossiblement blancs sont-ils un anachronisme ?

Le plus grand accomplissement pour ce retour médiocre à la concession de Conan est le paysage, qui fait l'utilisation saisissante des endroits ; des champs de bataille, les forêts, les monastères, les déserts, les villages, les châteaux, et les cavernes tous sont donnés un traitement approprié de Hyborian (avec la peinture mate étendue) et même un conseil des influences de Frazetta. Le maquillage est également exemplaire, mais gaspillé sur des conceptions de caractère unoriginal (sauf McGowan qui aurait étées visuellement intéressant sans elle a prévu, au-dessus - de l'approche supérieure au rôle). Tristement, Conan le barbare a utilisé large-balayent la mode à chaque autre élément - il a fixé le directeur go-to pour les remakes sanguineous (Marcus Nispel helmed précédemment le massacre et le vendredi de tronçonneuse du Texas les 13èmes remakes), le narrateur go-to (Morgan Freeman), la compagnie go-to de production pour des extravagances violentes (Lionsgate) et même la fonte Ron Perlman, le barbare go-to d'aîné (il a joué les rôles semblables de saison de la sorcière et au nom du roi : Un conte de siège de cachot, aussi bien qu'avoir exprimé Conan dans le jeu vidéo 2007).